Lieu de perdition
Et bien non, ce n'est pas à un magasin de tissu que se réfère le titre !
J'ai bien d'autres vices ! Le lieu de perdition infini que je nomme ici est la librairie ! ça fait longtemps que j'ai perdu l'espoir de lire tous les livres que peuvent refermer ces sanctuaires, mais parcourir les rayonnages d'une librairie reste un moment de frustation intense.
J'y allais après avoir lu ça. Alléchée par cette critique pointue, et au lieu, comme tous, d'aller faire les soldes, j'ai pénétré l'antre suprême, et évidemment, je ne suis pas revenue qu'avec ce livre.
Voilà ma moisson :
Dans l'ordre, le livre d'Olivier Clerc (Merci Isa pour cette découverte), le dernier Fred Vargas (je l'adore) ; rayon revues, le Magazine littéraire sur les romancières anglaises (j'adore aussi) ;
Rayon papeterie-voyage, la carte d'Italie (devinez pourquoi) et le guide Chamina sur la Loire à vélo (un projet)
Franchement, j'ai été plus que raisonnable !